La " rivale " de la Vénus
Jeune fille, épouse et veuve

   Mademoiselle de Puygarrig est âgée de dix-huit ans. Elle a été élevée par une tante qui lui a servi de mère, qu'elle va quitter pour se marier dans "un torrent de larmes". Elle est riche. Le narrateur est peiné à l'idée que cette femme douce et gracieuse ne soit recherchée par les hommes que pour sa dot...

    C'est une jeune fille belle et séduisante : " sa taille souple et délicate contrastait avec ses formes osseuses de son robuste fiancé ". Elle a une tante, une femme âgée et fort dévote, qui lui a servi de mère. Elle a été bien éduquée et sait se tenir en société, avec "modestie" et un "naturel parfait" ; même si elle rougit beaucoup aux mauvaises plaisanteries qu'on lui fait lors de son mariage, elle réagit sans gaucherie. Son "air de bonté" s'accompagne d'une "légère teinte de malice".

   Après la mort de son mari, elle pousse de terribles cris et a d'horribles convulsions, elle se débat à tel point qu'on ne peut à peine la maîtriser. Après les évènements de sa nuit de noce, elle est, d'après le procureur du roi, folle…